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#182 Se donner la liberté d’être soi-même avec Sosthène Galbrun

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#182 Se donner la liberté d'être soi-même avec Sosthène Galbrun
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GRÉGORY : On va parler ensemble de l’évolution individuelle de tout à chacun et je crois que, en ce moment, beaucoup de personnes se cherchent, cherchent le sens de leur vie, cherchent à avoir un meilleur impact sans doute, ils cherchent à savoir pourquoi ils sont là. Est-ce que toi, c’est des profils que tu rencontres souvent et comment tu l’expliques ?

SOSTHÈNE : Alors des profils de gens qui cherchent à savoir ce qu’ils font sur notre bonne vieille planète, oui, sans doute, on pourrait qualifier ça comme ça. Moi, je suis thérapeute. Donc les gens peuvent pousser la porte de mon cabinet par cette envie de découverte ou de recherche de sens. Très souvent, c’est une souffrance qui les amène à pousser la porte du cabinet derrière cette souffrance, souvent, ce qui s’associe, c’est en effet une recherche de sens.

GRÉGORY : Et tu appuies en tant que thérapeute, mais aussi en tant que comédien. On peut dire ça sur Le voyage du héros. Est-ce que tu peux nous en parler ? Et qu’est-ce que c’est, et pourquoi tu t’appuies dessus ?

SOSTHÈNE : OK. Alors oui, en effet. Moi, j’ai une double casquette. J’ai été comédien, je le suis encore, mais j’ai vraiment plus le temps de me consacrer à l’apprentissage du texte ou à la création de pièces de théâtre de façon artistique. Donc je fais encore un peu de théâtre via le Théâtre Forum, mais le gros de mon activité, c’est quand même la thérapie. Et j’associe théâtre et thérapie. Pourquoi le voyage du héros ? Parce que Joseph Goebbels, ce mythologique universitaire américain qui a fait un travail incommensurable sur l’étude de tous les mythes qu’il a pu trouver sur la planète, qui partent des grands textes sacrés la Bible, le Coran, les textes bouddhiques, la Torah, ces textes-là. Et puis il s’est intéressé aussi aux cultures des peuples premiers. Il était américain, il était très sensible à la culture amérindienne et en fait, il s’est rendu compte que, en étudiant toutes ces mythologies, on pouvait dégager une trame commune qui se retrouve dans tous ses textes, dans toutes ces histoires qu’on raconte, il a appelé, lui, le monomyth. Donc il y a plein d’ouvrages et maintenant quasiment toutes les créations qui sont faites s’appuient sur ces travaux. Le premier à l’avoir fait, c’est George Lucas pour La Guerre des étoiles. Moi, ce qui m’intéresse là-dedans, ce sont les travaux de Paul Rubio, qui était, lui aussi, un homme de théâtre, et puis un musicien, comédien, metteur en scène, qui a eu un épisode de psychotique dans son existence et qui, en sortant de cet épisode psychotique, il a vraiment perdu toute notion de la réalité, il a perdu son identité et en revenant à lui, je pourrais dire ça comme ça. Il s’est rendu compte qu’en fait, il avait vécu ce que Goebbels décrivait dans Le Voyage du héros et il s’est saisi de cette expérience-là pour créer un processus, pour que chacun puisse plonger dans son mythe personnel, pour qu’il puisse aller à la rencontre de ce que tu nommais tout à l’heure comme étant une tentative de répondre à la question Qu’est-ce qu’on fait sur cette bonne vieille planète ? Quelle est notre quête ? Qu’est-ce qu’on vient faire ici ? Qu’est-ce qu’on vient chercher ? Pour ceux qui peuvent se poser la question en ces termes-là, parce que ça ne parle pas tout le monde. Mais l’idée, c’est d’utiliser les travaux de Campbell et de Paul Rubio pour embarquer les gens dans une aventure où ils vont se rencontrer.

GRÉGORY : Et du coup, parce que ce que lui décrit et que je trouve assez phénoménal, c’est que les mythes sont tous structurés de la même manière, c’est ce que tu disais un petit peu tout à l’heure. Et en fait, il décrit cela en douze étapes. Je trouvais ça intéressant de repasser dans les douze étapes parce que je pense que les personnes qui nous écoutent, elles vont pouvoir se retrouver dans ces douze étapes et définir où est-ce qu’elles en sont finalement de ces étapes. La première, c’est une conscience assez limitée du problème. Est-ce que tu peux nous en parler de cette étape-là ?

SOSTHÈNE : Alors oui, c’est ce que Christopher Vogler a identifié. C’est ce qu’on appelle le monde ordinaire. Moi, dans le stage pour Le Voyage du héros, on regroupe les trois premières étapes qui sont détaillées pour notamment pour l’écriture de scénarios, nous pour les nécessités du travail sur soi, on a regroupé les trois premières, c’est-à-dire le monde ordinaire où on est confronté à un problème sans trop savoir ce que c’est. On pourrait le nommer comme une forme d’insatisfaction, quelque chose qui fait que la vie peut être chouette, peut être agréable, on peut avoir déjà réalisé pas mal de choses, fonder une famille, avoir un boulot qui marche. Mais il y a quelque chose qui pourrait nous manquer ou on pourrait se dire qu’on pourrait peut-être vivre plus intensément, quelque chose comme ça. Quand on prend conscience de ça, c’est ce qu’on va nommer la deuxième étape. Je ne sais pas si tu voulais qu’on suive toutes les étapes.

GRÉGORY : Si bien sûr, c’est hyper intéressant. 

SOSTHÈNE : C’est l’appel de l’aventure. C’est vraiment une caractéristique de la proposition de Goebells. C’est-à-dire que le héros, il va répondre à un appel. Et là, ce qu’on retrouve chez tous les personnages héroïques, c’est non seulement il y répond, mais il va s’engager vers sa quête. L’idée, c’est que dans ce besoin, on pourrait le nommer comme ça, de vivre plus intensément, il y a la nécessité de quitter ce qui est déjà connu. Donc ça peut faire peur, ça peut ne pas plaire à l’entourage. Là, dans ce que Vogler appelle la troisième étape, c’est je crois qu’il appelle ça le refus de l’appel, quelque chose comme ça. On appelle ça le premier degré de résistance, c’est-à-dire que c’est plutôt le monde extérieur, plutôt l’environnement, qui va nous dire Mais pourquoi tu veux faire ça ? Pourquoi tu veux t’engager dans une nouvelle vie amoureuse ? Pourquoi tu veux changer de boulot ? Pourquoi tu veux inscrire un stage ? C’est déjà bien tout ce que tu as là. Et donc on peut mettre des années, des fois à répondre à un appel ou ça peut être instantané, selon la nécessité de cette force de vie que certains appellent l’énergie de vie, l’élan qui fait qu’on va y répondre ou pas et dépasser ce premier degré de résistance.

GRÉGORY : Et alors je te coupe. Mais c’est vrai que quand tu veux changer quelque chose, souvent les résistances, elles viennent de l’extérieur et j’ai toujours trouvé ça étonnant. Moi, ce que je me suis toujours dit, mais peut-être que je me trompe, c’est un peu le sens de ma question. C’est que les gens n’aiment pas trop que tu changes, parce qu’en fait, ça les met face au fait qu’eux-mêmes ne changent pas. Est-ce que c’est vraiment ça ou est-ce qu’il y a d’autres choses ?

SOSTHÈNE : Mais on peut le voir comme ça. On peut en effet imaginer que ce que nous renvoient les gens, c’est une projection de leur part qui est assise sur leurs propres peurs. On peut le voir comme ça. Moi, ce qui m’intéresse presque plus, c’est de se dire que ces résistances viennent de l’extérieur, mais en fait, elles partent de nous quand même. On appelle ça le premier degré de résistance. Et au niveau de conscience, si on prend le mythe et les propositions de ces grands auteurs, on n’a pas encore conscience que le qu’on crée vraiment tout ce qui nous arrive dans notre existence. Donc on a besoin de projeter à l’extérieur ce qui en fait nous appartient. Et ça nous arrange bien dans un premier temps de se dire “Ah, mais c’est l’extérieur qui ne veut pas” et c’est vrai.

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Description de l’épisode

Sosthène Galbrun est un comédien, metteur en scène mais surtout thérapeute.
Il s’appuie sur le voyage du héros, méthode initialement écrite par le mythologue Joseph Campbell pour raconter des histoires afin d’aider les personnes à construire leur propres mythes.
C’est Paul Rebillot, un des premiers psychologues humaniste, qui est le premier à mixer le voyage du héros avec les principes de la Gestalt.
Mais alors comment cela fonctionne et à quoi cela peut bien servir?
L’idée est pouvoir définir son rôle sur la terre, de mieux comprendre pourquoi nous sommes là.
Ce qui est intéressant, c’est qu’il y 12 étapes bien définies et qui permettent de savoir où nous en sommes chacun et chacune.
Avec Sosthène nous passons à travers ces 12 étapes une par une afin de vous aider au mieux.
D’abord définir où vous vous situer mais aussi sur les étapes à accomplir pour finalement vous révéler et comme je le dis moi même dans l’épisode (car c’est ce que je ressens pour moi) avoir la liberté d’être vous même.

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Transcription partielle de l’épisode

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GRÉGORY : On va parler ensemble de l’évolution individuelle de tout à chacun et je crois que, en ce moment, beaucoup de personnes se cherchent, cherchent le sens de leur vie, cherchent à avoir un meilleur impact sans doute, ils cherchent à savoir pourquoi ils sont là. Est-ce que toi, c’est des profils que tu rencontres souvent et comment tu l’expliques ?

SOSTHÈNE : Alors des profils de gens qui cherchent à savoir ce qu’ils font sur notre bonne vieille planète, oui, sans doute, on pourrait qualifier ça comme ça. Moi, je suis thérapeute. Donc les gens peuvent pousser la porte de mon cabinet par cette envie de découverte ou de recherche de sens. Très souvent, c’est une souffrance qui les amène à pousser la porte du cabinet derrière cette souffrance, souvent, ce qui s’associe, c’est en effet une recherche de sens.

GRÉGORY : Et tu appuies en tant que thérapeute, mais aussi en tant que comédien. On peut dire ça sur Le voyage du héros. Est-ce que tu peux nous en parler ? Et qu’est-ce que c’est, et pourquoi tu t’appuies dessus ?

SOSTHÈNE : OK. Alors oui, en effet. Moi, j’ai une double casquette. J’ai été comédien, je le suis encore, mais j’ai vraiment plus le temps de me consacrer à l’apprentissage du texte ou à la création de pièces de théâtre de façon artistique. Donc je fais encore un peu de théâtre via le Théâtre Forum, mais le gros de mon activité, c’est quand même la thérapie. Et j’associe théâtre et thérapie. Pourquoi le voyage du héros ? Parce que Joseph Goebbels, ce mythologique universitaire américain qui a fait un travail incommensurable sur l’étude de tous les mythes qu’il a pu trouver sur la planète, qui partent des grands textes sacrés la Bible, le Coran, les textes bouddhiques, la Torah, ces textes-là. Et puis il s’est intéressé aussi aux cultures des peuples premiers. Il était américain, il était très sensible à la culture amérindienne et en fait, il s’est rendu compte que, en étudiant toutes ces mythologies, on pouvait dégager une trame commune qui se retrouve dans tous ses textes, dans toutes ces histoires qu’on raconte, il a appelé, lui, le monomyth. Donc il y a plein d’ouvrages et maintenant quasiment toutes les créations qui sont faites s’appuient sur ces travaux. Le premier à l’avoir fait, c’est George Lucas pour La Guerre des étoiles. Moi, ce qui m’intéresse là-dedans, ce sont les travaux de Paul Rubio, qui était, lui aussi, un homme de théâtre, et puis un musicien, comédien, metteur en scène, qui a eu un épisode de psychotique dans son existence et qui, en sortant de cet épisode psychotique, il a vraiment perdu toute notion de la réalité, il a perdu son identité et en revenant à lui, je pourrais dire ça comme ça. Il s’est rendu compte qu’en fait, il avait vécu ce que Goebbels décrivait dans Le Voyage du héros et il s’est saisi de cette expérience-là pour créer un processus, pour que chacun puisse plonger dans son mythe personnel, pour qu’il puisse aller à la rencontre de ce que tu nommais tout à l’heure comme étant une tentative de répondre à la question Qu’est-ce qu’on fait sur cette bonne vieille planète ? Quelle est notre quête ? Qu’est-ce qu’on vient faire ici ? Qu’est-ce qu’on vient chercher ? Pour ceux qui peuvent se poser la question en ces termes-là, parce que ça ne parle pas tout le monde. Mais l’idée, c’est d’utiliser les travaux de Campbell et de Paul Rubio pour embarquer les gens dans une aventure où ils vont se rencontrer.

GRÉGORY : Et du coup, parce que ce que lui décrit et que je trouve assez phénoménal, c’est que les mythes sont tous structurés de la même manière, c’est ce que tu disais un petit peu tout à l’heure. Et en fait, il décrit cela en douze étapes. Je trouvais ça intéressant de repasser dans les douze étapes parce que je pense que les personnes qui nous écoutent, elles vont pouvoir se retrouver dans ces douze étapes et définir où est-ce qu’elles en sont finalement de ces étapes. La première, c’est une conscience assez limitée du problème. Est-ce que tu peux nous en parler de cette étape-là ?

SOSTHÈNE : Alors oui, c’est ce que Christopher Vogler a identifié. C’est ce qu’on appelle le monde ordinaire. Moi, dans le stage pour Le Voyage du héros, on regroupe les trois premières étapes qui sont détaillées pour notamment pour l’écriture de scénarios, nous pour les nécessités du travail sur soi, on a regroupé les trois premières, c’est-à-dire le monde ordinaire où on est confronté à un problème sans trop savoir ce que c’est. On pourrait le nommer comme une forme d’insatisfaction, quelque chose qui fait que la vie peut être chouette, peut être agréable, on peut avoir déjà réalisé pas mal de choses, fonder une famille, avoir un boulot qui marche. Mais il y a quelque chose qui pourrait nous manquer ou on pourrait se dire qu’on pourrait peut-être vivre plus intensément, quelque chose comme ça. Quand on prend conscience de ça, c’est ce qu’on va nommer la deuxième étape. Je ne sais pas si tu voulais qu’on suive toutes les étapes.

GRÉGORY : Si bien sûr, c’est hyper intéressant. 

SOSTHÈNE : C’est l’appel de l’aventure. C’est vraiment une caractéristique de la proposition de Goebells. C’est-à-dire que le héros, il va répondre à un appel. Et là, ce qu’on retrouve chez tous les personnages héroïques, c’est non seulement il y répond, mais il va s’engager vers sa quête. L’idée, c’est que dans ce besoin, on pourrait le nommer comme ça, de vivre plus intensément, il y a la nécessité de quitter ce qui est déjà connu. Donc ça peut faire peur, ça peut ne pas plaire à l’entourage. Là, dans ce que Vogler appelle la troisième étape, c’est je crois qu’il appelle ça le refus de l’appel, quelque chose comme ça. On appelle ça le premier degré de résistance, c’est-à-dire que c’est plutôt le monde extérieur, plutôt l’environnement, qui va nous dire Mais pourquoi tu veux faire ça ? Pourquoi tu veux t’engager dans une nouvelle vie amoureuse ? Pourquoi tu veux changer de boulot ? Pourquoi tu veux inscrire un stage ? C’est déjà bien tout ce que tu as là. Et donc on peut mettre des années, des fois à répondre à un appel ou ça peut être instantané, selon la nécessité de cette force de vie que certains appellent l’énergie de vie, l’élan qui fait qu’on va y répondre ou pas et dépasser ce premier degré de résistance.

GRÉGORY : Et alors je te coupe. Mais c’est vrai que quand tu veux changer quelque chose, souvent les résistances, elles viennent de l’extérieur et j’ai toujours trouvé ça étonnant. Moi, ce que je me suis toujours dit, mais peut-être que je me trompe, c’est un peu le sens de ma question. C’est que les gens n’aiment pas trop que tu changes, parce qu’en fait, ça les met face au fait qu’eux-mêmes ne changent pas. Est-ce que c’est vraiment ça ou est-ce qu’il y a d’autres choses ?

SOSTHÈNE : Mais on peut le voir comme ça. On peut en effet imaginer que ce que nous renvoient les gens, c’est une projection de leur part qui est assise sur leurs propres peurs. On peut le voir comme ça. Moi, ce qui m’intéresse presque plus, c’est de se dire que ces résistances viennent de l’extérieur, mais en fait, elles partent de nous quand même. On appelle ça le premier degré de résistance. Et au niveau de conscience, si on prend le mythe et les propositions de ces grands auteurs, on n’a pas encore conscience que le qu’on crée vraiment tout ce qui nous arrive dans notre existence. Donc on a besoin de projeter à l’extérieur ce qui en fait nous appartient. Et ça nous arrange bien dans un premier temps de se dire “Ah, mais c’est l’extérieur qui ne veut pas” et c’est vrai.

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